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Quand un soupir sonne comme une note personnelle - Chevalier Asworth

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Chevalier Franz Kaufman
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Chevalier Franz Kaufman

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Message Quand un soupir sonne comme une note personnelle - Chevalier Asworth Empty (#) Mer 19 Mar - 23:25


Le bruit grisaillé d’innombrables morceaux métalliques s’entrechoquant résonnait d’une intensité variable à travers le secteur central. Il arrivait même que certains intérimaires se prélassent à regarder, idylles, la manufacture énergétique qui en ressortait par moments. Bien qu’il soit incorrect que de prétendre à la fabrication totale des armes à notre disposition, notre expertise nous permet une restauration surprenante. De toute façon, relancer une industrie militaire de masse n’engagerait que des risques dispensables.
Six heures passées. Déjà.

C’est en levant les yeux de mon moniteur que le bon sens décide de m’avertir combien mon corps est fatigué. L’étude des nouvelles théories sur la dispersion atomique s’est avérée infructueuse ; l’explosion de microparticules étant contraire au principe de déplacement rectiligne d’une arme plasmatique. La seule conclusion probante étant que nos chers prétendus scientifiques ne semblent pas progresser dans les prototypes issus de Glock 86. Bien entendu, notre cartésianisme exclu toute possibilité de technologie aliène, si tant est qu’une telle entité ne se manifeste. Peu importe vraiment les élucubrations de l’Ordre, la maintenance de notre système informatisé, entre autres, semble déjà une tâche déjà bien pesante. Ayant détaché mon regard du rapport envoyé par l’un des Scribes dont le nom m’échappe, l’envie irrépressible de sillonner les étagères de l’armurerie me hante. De surcroît, le chargement d’armes rapatrié du dernier régiment d’exploration ne devrait plus tarder, duquel je ne peux attendre l’inspection. Il va sans dire que je ne pourrai pas faire main basse sur son contenu, non que je n’en ai l’intention ni même l’intérêt. Car dans les faits, mon titre de chevalier est déprécié par la position de quartier maître que j’occupe actuellement. Ma fonction est d’agir en gestionnaire des équipements de l’escouade d’exploration, en garantissant un entretient et une disponibilité sans failles. Il s’agit, en toute honnêteté, d’un labeur objectivement ingrat ; tandis que je mets à cœur l’optimisation de notre puissance de feu, chacun ne regarde mon travail que d’une évidence. Certains en sont d’ailleurs ignorant du rôle ainsi que des responsabilités qu’engrangent l’entretient de vos si beaux canons, considérant qu’il suffit de rendre ces armes à leur place pour ainsi les retrouver en état le jour d’après. Cela est d’autant plus agaçant lorsqu’en exerçant mes fonctions, il m’arrive d’entendre d’éventuels commentaires désobligeants ; ayant passé la quarantaine à présent, ma position de chevalier stagnante entre autres…

Tournant le dos à mon moniteur, le son retentissant de l’élévateur transportant les biens rapatriés ne m’échappa pas. Je crois bien que mes journées lascives m’auront rendu quelque peu désespéré, puisque c’est avec le cœur battant que je semble me plonger dans les tréfonds de cette masse métallique dangereuse.



Dernière édition par Chevalier Franz Kaufman le Ven 21 Mar - 9:52, édité 3 fois
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Chevalier Docteur Erin
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Message Quand un soupir sonne comme une note personnelle - Chevalier Asworth Empty (#) Jeu 20 Mar - 21:23

La journée avait, pour une fois, été passionnante pour la partie infirmerie de la Confrérie. Ce n'était pas tous les jours que les médecins s'adonnaient à de la chirurgie lourde. Certes, là où l'intérêt des archiatres était comblé, le côté plaisant pour la patient restait à définir. Erin avait pu expérimenter les ressources techniques ainsi que les connaissances anatomiques de son nouveau jouet, un robot Mr Orderly pas franchement neuf, mais bien retapé par les collègues du Chapitre. Il s'agissait d'opérer un Chevalier qui était revenu de mission avec un souvenir d'une de ses victimes, un griffemort, qui lui avait laissé sa griffe après sa mort justement. L'os avait transpercé la jambe du malheureux, sectionnant peau, muscles et tendons et une partie du fémur au passage. Le médecin du groupe expéditionnaire avait réussi, plus par miracle il faut le reconnaître, à stabiliser le soldat en clapsant l'artère fémorale pour qu'il ne se vide pas de son sang. La contrepartie ne fut pas anodine, car la jambe en manque de sang avait fini par nécroser salement le temps du retour au bunker. Il avait fallu sectionner le membre au niveau de la hanche, tout en s'assurant que le malheureux n'allait pas y rester.

Cette intervention changeait radicalement des longues journées passées à soigner des hématomes et autres traumatismes contondants. Les jours où il y avait une blessure par balle, c'était déjà le gros lot. Bien souvent, défilaient à l'infirmerie des hommes et des femmes fourbues, le dos en compote d'avoir endosser l'armure assistée, qui tirait quand même vers le « insisté », des jours durant. Au fil des ans, les problèmes de dos devenaient une constante, un soucis de santé publique confrérique pour ne pas faire de néologisme inutilement. Quand au cas les plus graves, comme cet homme, ils survenaient bien souvent en opération, à l'extérieur du bunker, loin des ressources de ce dernier, si bien que quand ils arrivaient à la maison, il était souvent trop tard.

Erin quitta donc l'infirmerie complètement vidée par cette longue opération, mais sa journée ne s'arrêtait pas là. Direction l'armurerie, pour le bien de son fameux Glock 86 Defender qui n'allait pas la défendre longtemps. L'arme ne fonctionnait tout bonnement plus du tout, depuis qu'elle l'avait utilisée lors de son excursion dans l'usine de la General Atomics International. Pourtant elle essayait d'en prendre soin. Mais cette technologie n'était pas de toute jeunesse et elle pouvait par moment se montrer capricieuse. Heureusement, la Confrérie avait développé toute sorte de métiers utiles pour répondre aux besoins de la vie martiale, et l'armurier était du lot. Sans lui, pas d'arme, pour résumer grossièrement. Profitant d'une descente d'un chargement vers l'armurerie, Erin évita ainsi les escaliers. Elle arriva en bas, le cul à demi posé sur une caisse.

Son regard accrocha immédiatement le bonhomme que l'on disait irascible, taulier des lieux et c'est tout naturellement qu'elle se dirigea vers son confrère. « Bonjour, ou bonsoir, je ne sais plus qu'elle heure il est. » Elle accompagna son entrée en matière par un petit sourire de circonstance, tout en posant l'objet du délit, le glock, sur un des établis. « J'ai un problème avec cette arme, elle ne fonctionne plus. » Sous entendu, pouvez-vous y jeter un coup d'œil.
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Chevalier
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Message Quand un soupir sonne comme une note personnelle - Chevalier Asworth Empty (#) Ven 21 Mar - 19:52


Peut être était-ce un peu prématuré, il n’en reste que l’imprévu s’est invité à ma porte. Revêtant les traits d’une femme vigoureuse, il ne suffisait que d’en écouter la voix pour en discerner toute la rigueur de notre fratrie. J’avais haussé un sourcil, peut être deux car rien ne m’avait préparé à cette rencontre. Ni de missive officielle ou encore un simple son d’entrée, rien. J’avais le cœur en émois, non de plaisance ou d’admiration sexuelle. Rien de la sorte, il serait bon de parler d’absence plutôt, comme pour rattraper l’information de la situation présente. En d’autres termes, ce que venait foutre cette femme dans mon atelier, sans autorisation préalable. Comble du comble, la cerise sur le gâteau serait de m’ordonner tel un mr handy afin de lui porter assistance. Un comble partiellement réel, ou du moins c’est ainsi que j’en interprète sa parole, sinon pourquoi diable me parlerait-elle de son arme ? Mon intérêt pour ce genre de pièce est une évidence publique, et je ne compte plus les fois où ma passion s’est laissé prendre au jeu.
Persistant dans mon silence, mon corps, jusque là tourné face-caché se tourna lentement pour enfin croiser regards. Agréable plastique, comme toujours. Son port de tête à coupe carrée, probablement le plus glamour possible avant d’enfiler une armure assistée concordait étrangement à cette voix relativement sèche. Toujours sans un mot, je scrutais cette expression imperturbable avant de prendre en main l’objet en question. La coque grisée était reconnaissable d’un Glock 86, sans parler des charges d’énergies compactées verdâtres. A première vue, l’arme semblait en parfait état ; du moins dans la mesure d’une utilisation fréquente. La jeune femme, dont le nom m’échappe, n’ayant pas jugé utile de décliner son identité, avait au moins le mérite d’apporter un certain soin à ses affaires. Cela me change de ces paladins écervelés réduisant à l’état de poussière des antiquités sans la moindre conscience de leur valeur. Cela m’ennuie terriblement, et en toute sincérité je n’ai que moyennement l’envie de travailler aujourd’hui. Aussi décidai-je de feinter une tâche complexe. Cette arme ne semble pas avoir de défauts notable, du moins à la première impression. « Une bien belle arme. » Je n’ai aucun mal à reconnaître une arme d’utilité entre mes mains, et dans le cas présent je peux par exemple certifier que le manche s’est légèrement adapté à sa poigne. Cela n’apparaît qu’au bout d’utilisations intensives sur de courtes périodes. J’en déduis donc que cette personne n’est autre qu’un titulaire de l’une de nos troupes d’expédition, bien que je sois incapable d’en dire laquelle, cela m’importe peu. En tâtant de mes doigts le chargeur à cellule énergétique, je remarque d’office que les cotés sont anormalement bombés. Cela arrive lorsque plusieurs tirs sont exécutés à la suite, les composants internes n’ayant pas le temps de refroidir à l’air ambiant sont progressivement exposés à de hautes températures durant un laps de temps prolongés. Le danger est alors réel, et donc certains ingénieurs munissent ces armes avec des fusibles de sécurité, très semblables aux circuits électriques élémentaires. Ainsi isolés du canon principal, les cellules à énergie ne peuvent plus être lancées ; et pour cause dans un tel cas l’arme serait susceptible d’imploser sous la chaleur plasmatique. La chose ne serait pas bien difficile à remplacer, pour peu que des pièces de rechange ne subsistent. Caressant de l’index le chargeur, je ne peux cependant m’empêcher de piquer une légère remarque. A qui ai-je l’honneur ?

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Message Quand un soupir sonne comme une note personnelle - Chevalier Asworth Empty (#) Dim 23 Mar - 10:38

L’infirmerie était comme un moulin dans ce bunker, pas de prise de rendez-vous, on poussait la porte et on demandait à se faire voir. Heureusement, les effectifs de la Confrérie n’étant pas si conséquent que ça, le service était rarement engorgé. Comme partout ailleurs, du moins, dans les endroits ayant développé un minimum de civilisation dans ce nouveau monde d’après apocalypse, les cas urgents passaient en priorité et les atteintes physiques plus bénignes attendaient. Aussi, pour la doctoresse, l’ensemble du bunker fonctionnait de la sorte. On arrivait quelque part, sans s’annoncer au préalable, sans prévenir d’une visite dans les jours prochains, et on voyait comment on pouvait résoudre le problème, tout en privilégiant le plus urgent. Peut être faisait-elle fausse route dans ses habitudes, toujours est-il qu’elle était bel et bien là dans cette armurerie pour présenter son arme à plasma endommagée. Après tout, la jeune femme faisait partie d’une équipée d’excursion et son pistolet était primordial pour sa sécurité et celle d’autrui. Technophile dans l’âme, comme un peu tout le monde dans ce Chapitre, Erin était intéressée par le diagnostique de son confrère. Ce dernier tarda à se retourner, irritant un peu la jeune femme qui était déjà fatiguée. La brune n’attendit cependant pas longtemps avant qu’il ne daigne s’intéresser à sa petite personne et plus spécifiquement, à son arme posée sur le comptoir.

L’arrière de son crâne aux cheveux grisonnant laissa apparaître un visage à l’allure austère, marqué par la vie. Pour officier à l’infirmerie depuis un petit bout de temps, Erin connaissait la majeure partie de ses collègues, au moins de vue. Celui-ci ne lui était pas inconnu, sans pour autant être familier. En même temps, une gueule comme-ça ne s’oubliait pas facilement, sans parler de cette impression hostile qui se dégageait de son être. Néanmoins, le Chevalier Ashworth n’était pas le genre de femme à se laisser impressionner par le non verbal d’autrui, pas plus que par le verbiage cela dit. Le fameux armurier dont tout le monde avait une petite anecdote ou une blague à la con. Ce n’était cependant pas le genre de la maison de la doctoresse. Ce dernier détailla son arme avec une attention certaine, la caressant des doigts pour mieux la connaître, sans doute. Du moins, c’était comme ça que la jeune femme le ressentait. Cet homme semblait fasciner par les armes, et il trouvait une place toute particulière dans cet endroit qui leur était dédié.

« Excusez-moi, j’en oublie les bonnes manières. Chevalier Docteur Erin Ashworth. Et vous êtes ? »

Après tout, elle ne devait pas être la seule à décliner son identité. Certes, il ne pouvait s’agir que de l’armurier, mais son patronyme ne lui était pas connu. Le port droit, la jeune femme attendait calmement la suite des choses, le verdict, le diagnostique, bref, tout ce qui pouvait concerner l’arme. Peut être qu’il devrait faire un examen plus poussé pour vérifier le bon fonctionnement des mécanismes ? Si oui, alors combien de temps cela durerait-il ? N’empêche qu’elle crue bon d’ajouter :

« Après un échange assez intense de tir, l’arme a cessé de fonctionner dans la demi-heure. Vous avez une idée de la nature de la panne ? »

La question était bien entendue intéressée.
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