| | | | Ethan Cooper | Money Talks |  |
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Invité Invité
 |  (#) Mar 8 Oct - 16:50 | |
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Ethan Cooper
Informations Générales
→ Nom et prénom(s) : Ethan Cooper
→ Surnom : Aucun, juste Ethan Cooper.
→ Sexe : Homme
→ Âge et lieu de naissance : 48ans, Jéricho.
Informations Personnelles
→ Pseudo : Zhoù → A propos de vous : Jeune étudiant en Droit, Fana de Jeux vidéos et de RP et le reste bah ... Vous allez bientôt le découvrir  (Déjà fait pour certains xD) → Où avez-vous connu le forum ? Partenariat SCH → Une première impression ? Impec' o/ → Connaissez-vous l'univers de Fallout ? Yep : Fallout 3 et New Vegas mais pas de façon approfondie :/ → Célébrité :Robert Downey Jr | |  |
Informations mentales
Complexe est un bon qualitatif concernant Ethan. Aussi sociable qu'égoïste, aussi mégalomane qu'impitoyable, on ne sait jamais vraiment ce qu'il a en tête, s'il cherche à gagner l'approbation des autres ou s'il n'en a que faire. S'il est en train de vous manipuler ou s'il est vraiment sincère. Personnage charismatique, il sera le premier à établir le contact du moins si vous en êtes digne d'intérêt et s'il a quelque chose à y gagner... |
Informations physiques
Ce qui est sûr, c'est qu'Ethan est quelqu'un d'atypique aussi bien dans son état d'esprit que dans son look. Toujours habillé avec classe et élégance, le contraste est total avec la population de Jéricho. Dans tous les cas, il veut être vu et il sait se faire remarquer : dans la mesure où il le décide.
Toutefois, certains signes ne trompent pas : sa maigreur perceptible, ses cernes occasionnelles voire ses joues creuses traduisent un réel investissement et un engagement franc dans son business aussi bien apparent que souterrain. Son fond de commerce, c'est tout simplement sa raison de vivre et il se donne corps et âme pour celui ci. Peut être est ce la réelle qualité d'Ethan après tout : une volonté à toute épreuve ?
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Informations historiques
Première Partie 2232-2242 : La naissance d'un Cooper Croyez-moi : être un Cooper est loin d'être une bénédiction.
Même pas le temps de respirer qu'on me fout déjà une baffe, vous imaginez ?! Les premiers mots que j'entendis de la bouche de mon père furent les suivants – et bien sûr rapportées par la suite, à moins que vous n'ayez déjà vu un tout nouveau-né discuter de l'inflation législative ou l'inefficacité de la répression militaire dans le Colorado ?! – : « Ne me déçois jamais, ne te déçois jamais ».
Au moins, ça donne le ton tout de suite.
C'est ainsi que j'atterris chez les Cooper et même si je n'avais pas à me plaindre de ma situation comparée à celle des autres enfants qui m'entouraient, ma vie restait un calvaire : mes parents étaient tout le temps derrière moi, à vérifier que je faisais ce qu'il fallait, quand il le fallait et surtout quand ils le voulaient. Je n'avais pas de libertés, pas d'indépendance j'étais juste la marionnette de mes géniteurs aveuglés par leur besoin inassouvie de réussite. Mais bon, j'étais jeune et je ne me rendais que très légèrement compte de l'emprise qu'avait mes parents sur ma personne et j'écoutais et obéissais gentiment à leurs directives. À l'école, j'étais populaire et le meilleur, j'écrasais mes opposants tout en récompensant ceux qui me suivaient. Très tôt, je me rendis compte de la jouissance du pouvoir et de la nécessité d'avoir des moyens pour parvenir à rassembler le plus de personnes sous ma coupe. D'où mon intérêt prononcé pour le commerce florissant de Jéricho. Je visitais les boutiques à la sortie des cours pendant que mes parents travaillaient à la leur (qui ressemblait plus à un fourre-tout que de quelque chose d'organisé et structuré, si vous voulez mon avis!).
Pendant mes escapades journalières, je discutais avec les commerçants qui éprouvaient une certaine sympathie à mon égard, sûrement due à ma bouille d'enfant curieux : je leur parlais de tout, leur posais d'innombrables questions sur l'organisation, le fonctionnement d'un commerce et les astuces pour y parvenir. Je me faisais déjà une base de connaissance solide pour mon futur et uniquement le mien, pas celui de mes créateurs « bienveillants »... 2242-2252 : L'envol Je me rendis en effet rapidement du carcan dans lequel j'étais enfermé depuis ma plus tendre enfance et je décidai qu'il fallait que cela cesse. Cependant j'étais trop jeune, trop ignorant du monde qui m'entourait d'où ma passivité apparente dans le but de préparer un jour mon départ ou du moins mon écartement vis à vis de mes parents. Le pire dans tout ça, c'est que mon père arrivait quand même à trouver un prétexte pour me frapper, parce que je n'avais pas eu les meilleures notes possibles ou que je rentrais plus tard que prévu... Je vous prie d'imaginer son comportement si je lui avais annoncé de but en blanc mon projet de partir !
Dès mes 18ans, je m'étais déjà fait un petit réseau de relations et certaines faisaient dans le trafic de drogue, traitant avec des Raiders de l'extérieur. Après le piston d'un de mes camarades de classe – Jim qu'il s'appelait –, je pus entrer dans ce réseau clandestin, faisant les basses besognes. En parallèle, je m'émancipais que ce soit avec l'accord ou non de mes parents, j'avais quasiment quitté le domicile familial et m'étais installé avec mes nouveaux collègues de travail. Je stoppais l'école à ce moment là, j'en avais déjà bien trop appris là-bas qui n'allait même pas me servir à l'avenir : l'expérience, y a que ça de vrai et sans elle, tu n'apprendras rien.
Chose que j'ai appris à mes dépends... 2253 : Leçon de vie. Un an que j'étais avec avec l'équipe de Jim, même si je faisais le sale boulot, il écoutait mes conseils avisés que ce soit en gestion ou bien dans le relationnel, au final je devenais un peu le leader officieux c'est pourquoi Jim me fit la proposition d'aller voir en personne les responsables de notre trafic, des Raiders (enfin, plutôt des gens qui se proclamaient comme tels) qui se trouvaient à la périphérie de Dog City. Il s'agissait d'un groupe pas trop important mais qui restait un bon client. J'étais à la fois excité et terrifié de rencontrer enfin les personnes avec qui je travaillais, que je fournissais. Pour la première fois on me faisait confiance et je n'allais pas rater cette opportunité. Une fois arrivé à notre point de rendez vous, on pouvait apercevoir un groupe de 5 hommes cagoulés avec des battes ou des fusils : nul doute qu'il s'agissait des personnes avec qui je travaillais. Une fois qu'ils étaient assez proches de moi, je tendis la main.
- Je m'appelle Ethan Cooper, et je suis …
La seule réponse que j'eus un retour fus un vieux coup de crosse qui m'assomma sur le coup, j'entendais des « traînez-le plus vite ! », « on a pas le temps ! » avant de tomber complètement dans les pommes.
- Oh, réveille toi ! me cria Jim en me balançant un seau d'eau dans la gueule.
Je ne savais pas où j'étais mais je me trouvais dans une bien piteuse situation, attaché à une chaise avec pour seule éclairage une lampe qui fonctionnait qu'à moitié. Devant moi, un présumé Raider et Jim qui avait un sourire carnassier. Il s'approcha de moi, tout près et en murmurant, me dit :
- Qu'est ce que tu crois, Coop' ? Que j'allais te laisser me marcher dessus ? Te laisser prendre ma place ? Je sais que tu es plus doué que moi mais cette fois, c'est MOI qui ait eu l'initiative, c'est MOI qui ait le dessus et c'est MOI qui vais t'écraser. Tu aurais du t'en douter, mais tu te croyais trop supérieur, au delà de tout ça : c'était ta dernière erreur.
- Enfoiré... Je te faisais confiance ! dis je en tentant d'articuler.
Puis il fit un signe de la main et le Raider me flanqua une raclée : un crochet du droit dans la figure puis un autre dans les côtes. Mes idées commençaient à s'embrouiller, tout était si flou …
Juste avant de perdre conscience : un flash. Des bruits sourds d'armes, des cris. Mais je n'arrivais même plus à penser.
Puis le noir complet.
Je me réveillais le lendemain, sur un lit, un mal de crâne pas possible et incapable de bouger, puis tout me revint à l'esprit : la torture et Jim... Ce salaud s'était joué de moi, trop apeuré par mon aide alors que je n'avais eu qu'une envie : trouver vraiment une personne qui me soutenait.
Mais après tout, le Monde est égoïste, impitoyable. C'est chacun sa merde, chacun pour soi. Le Monde entier était en réalité Dog City : un monde de chiens affamés.
- Doucement … Comment vous sentez vous ? me demanda une présumée infirmière.
- Ca pourrait aller mieux. Où suis-je ?
- Vous êtes au Bunker de la Confrérie de l'Acier, on vous a trouvé alors que l'on était en pleine inspection d'un endroit supposé remplie de technologies mais au final, nous sommes tombés sur des présumés Raiders et … vous. Vous avez de la chance qu'on soit passé par là, vous étiez déjà dans un sale état.
- Merci, je suppose. Je … vous dois ... quelque chose ? Je pourrais ... bientôt partir ?
- Déjà, si vous vous rétablissez vite ça serait bien, nous ne pouvons partir avant votre guérison, me lâchais-t-elle avait un joli sourire.
- Il faut que je rentre chez … puis je m'endormis, trop affecté par mes blessures... |
Deuxième Partie 2257 : Le « Thirsty Dog » - Marché conclu ! dis je avec enthousiasme.
- Le bar est à vous, Monsieur Cooper ! En espérant que vous en prendrez soin, me dit le vieux Olaf.
Cela faisait 4ans depuis « l'événement Jim », je ne l'avais pas revu depuis et il se disait qu'il avait rejoint les Raiders. J'avais repris alors le flambeau de notre petit réseau, m'imposant comme le chef incontesté. D'ailleurs, l'affaire tourna à plein gaz suite à mon ascension même après la rupture avec l'un des groupes majeurs à Dog City mais j'avais des principes, on ne commerce pas avec l'ennemi quel que soit le bénéfice. Après avoir accumulé assez d'argent, il fallait donc que je me trouve une couverture pour justifier mon statut de nouveau riche, ce n'est pas en traînant dans les rues que l'on se retrouve plein aux as et la dernière chose qu'il me fallait, c'était d'attirer l'attention des autorités.
Mais je restais Ethan Cooper, le malheureux qui avait réussi à échapper à la mort suite à une torture sans précédent. Cela m'a apporté la bienveillance et le soutien de bons nombres de personne, comme quoi Jim s'était rendu utile au moins une fois dans sa misérable vie qui, je l'espère, allait s'achever dans la douleur et le désespoir.
Je rentrais dans la grande bâtisse en bois. Alors que j'aurais pu racheter d'autres bars plus neufs voire plus fréquentés, je m'étais pencher sur cet endroit pour plusieurs raisons. Déjà parce que je voulais que cela soit mon saloon, fait à mon image et selon mon envie et que dans tous les cas, j'aurais fais des rénovations. Puis l'endroit était très grand, plein de potentiel mais surtout, il y avait un sous-sol très étendu qui a été découvert que récemment et ça, ça faisait toute la différence...
Je regardais un peu autour de moi quand l'ancien propriétaire me demanda :
- Je suis curieux, comment allez vous renommer mon bar ? Je doute que « Chez Olaf » vous conviendrait ! Dit il en échappant un gloussement.
- J'avais déjà une idée qui irait parfaitement : le « Thirsty Dog ».
Après tout, je considérais que mes futurs clients n'étaient que des chiens assoiffés alors pourquoi ne pas leur faire un hommage ?
Je ressortais de ma nouvelle propriété puis mis mes lunettes de soleil. La tête pointée vers le ciel, je fermai les yeux.
C'était une belle journée.2260 : Rencontre avec le Maire Nous avions eu un bon mois de Septembre, il ne faisait pas si frais que ça que certaines optaient encore pour des jupes longues tandis que les hommes à côté de moi portaient tous la même tenue, un costume noir, cravate noir et parfois un chapeau de la même couleur. Moi, j'avais préféré un joli costume blanc que j'avais acheté le jour précédent. Je ne comprenais pas pourquoi on me dévisageait voire soufflait en remarquant ma tenue. Pourtant y avait pas de quoi casser trois pattes à un canard.
- Mais délivre nous du Mal, Amen
Oh ça, c'est juste le prêtre qui vient clôturer la cérémonie, celle de l'enterrement de ma mère. Oui, elle avait pas tenu si longtemps que ça à la maladie qui la faucha sans crier gare. Il ne restait plus que mon père qui semblait sincèrement triste, sûrement parce qu'il se rendait compte qu'il était à présent seul étant donné son échec quant à son rôle de père. Mais ça, il s'en rendra compte bien assez tôt.
C'était une belle journée.
Puis je vis au loin le Maire accompagné de sa fille, je m'empressai d'aller à sa rencontre, n'ayant jamais eu l'occasion de lui parler en face à face.
- Bonjour Monsieur le Maire, je suis Ethan Cooper, enchanté.
- Bonjour Monsieur Cooper, j'ai déjà entendu parler de vous, me lança t il tout en serrant ma main d'une poigne ferme.
- Oui c'est vrai que mon affaire tourne à merveille en ce moment malgré quelques dérapages suite à une absorption trop importante d'alcool mais bon vous savez, c'est les risques du métier et aussi mon fond de commerce ! Plus ils sont bourrés, plus ils casquent ! dis je en rigolant puis en stoppant immédiatement après avoir vu que ça ne l'avait pas fait du tout rire. C'est vrai qu'il y avait eu des problèmes d'alcools dans sa famille à ce qu'il paraît...
Puis je m'agenouillai pour être à hauteur de la petite fille qui l'accompagnait.
- Et voici la future Maire de cette ville ! Comment t'appelles tu ? Tu es ravissante en tout cas ! dis je, bienveillant. J'aimais bien les gosses : ils étaient innocents loin de la corruption de la Vie.
- Euh … Papa m'a dit de ne pas parler aux étrangers … me lâcha t elle.
- Tu as bien raison, il faut toujours écouter son Papa. J'espère qu'on se reverra bientôt jeune fille. Puis je m'approchais tout près de son oreille pour lui murmurer, quand tu seras Maire, je te promet de te payer un verre dans mon bar.
Je me relevais pour saluer le Maire puis filai sans aller voir le mien, de « Papa ».2265 : Le Bordel de Jéricho. Suite au franc succès du Thirsty Dog et des recettes qui allaient de concert, additionnés à mon petit commerce souterrain, je décidai d'aller plus loin encore, d'être innovant, d'être unique et de marquer l'Histoire de cette ville. Je mettais en suspens temporairement la vente de drogue voire d'armes pour me concentrer sur ce que sera l'une de mes fiertés personnelles : le Bordel clandestin de Jéricho.
En achetant le Bar, j'avais déjà pensé à cette éventualité selon mon succès et tout allant très vite, je pus rapidement y réfléchir et maintenant de concrétiser mon fantasme. Alors que le premier sous-sol servait de cave et d'entrepôt pour l'alcool, si on s'enfonçait dans les entrailles de la terre, nous avons un second sous-sol aménageable à loisir, ce que je fis sans attendre, en payant bien sûr des ouvriers silencieux et de confiance : en majorité les hommes qui étaient à mes côtés depuis le début.
Une poignée de mois ont suffit pour la rénovation des lieux, l'endroit était parfait, magique et il était sûr que la légende était née.
Pour ce qui était du recrutement des femmes, il fallait que le choix soit rigoureux, restrictif et de qualité, que je puisse miser sur le silence et leur fidélité car en aucuns cas, les autorités devaient être au courant de ma nouvelle source lucrative.
Je piochais au départ en général dans la maison commune qui servait des résidences pour les étrangers de passage ou ceux qui voulaient avoir un avenir dans cette ville : c'était le parfait point d'ancrage et après des discussions poussées avec certaines candidates, je pus avoir une poignée de femmes à ma solde. L'une se distingua du lot et c'est tout naturellement qu'elle devint la maquerelle de l'établissement, elle s'appelait Clivia et en plus de sa beauté incontestée, elle jouissait d'un sens aiguisé en affaire. Elle était parfaite pour gérer les filles, étant de nature douce et à l'écoute des autres.
Il était difficile d'accéder au Bordel, clandestinité oblige. Le cercle des clients était assez restreint et se limitait au petit gratin de la ville qui désirait avoir du piment dans leur vie. Pour pouvoir intégrer le cercle, cela se faisait de bouche à oreille mais la règle n°1 du l'établissement devait être connu de tous et il ne fallait jamais l'oublier : « ne jamais risquer l'anonymat du Bordel ». Pour pouvoir pénétrer dans ce lieu de luxure et de plaisir, il fallait passer par la porte de service de l'établissement tout en faisant bien attention à ne pas être vu et devant la porte, dire au garde la phrase suivante : « Le silence est d'or ».
D'ailleurs, le bordel fonctionna du tonnerre et les clients se faisant de plus en plus nombreux (tout en gardant un nombre raisonnable), le nombre de fille augmenta proportionnellement. Toujours avec cette sélection bien restrictive et pointue.2270 : La vengeance est un plat qui se mange froid. Le jour était arrivé, celui de ma vengeance, celui de ma libération. J'avais tout prévu, de A à Z : je disposais des moyens, des informations et du lieu adéquat. J'avais tout planifié dans le moindre détail, imaginant toutes les possibilités mais dans tous les cas, mon plan allait s'exécuter à la perfection et comme sur des roulettes : c'était une certitude, je ne faisais jamais de gestes trop hâtifs.
Je me dirigeais tranquillement vers un entrepôt vide un peu à l'écart de la ville, il faisait nuit mais le chemin était assez sûr et l'endroit, quasi incognito. Quand j'arrivais à l'endroit susnommé, le colosse qui gardait l'entrée me fit un signe de la tête puis ouvrit la porte. Je descendis dans le sol sous-sol pour arriver à une pièce assez grande pour contenir plusieurs personnes. D'ailleurs, se tenaient devant moi deux hommes, agenouillés et un sac sur la tête. Ils tremblaient, haletaient tels de simples animaux.
Au moment où je claquai les doigts, on leur retira leur sac : Jim et mon père.
- Eh bien, vous vous attendiez peut être à ce que ce jour arrive non ? Que ce soit toi, Jim ou toi, Papa, si vous êtes là aujourd'hui c'est parce que vous le méritez mais avant de continuer sur cette direction, je tenais à vous remercier. Merci de m'avoir ouvert les yeux Jim, merci d'avoir balayé mes espoirs quant à l'Humanité : en fin de compte, vous êtes tous pourris. Après tout, si tu es là c'est bien parce que tes petits potes Raiders ont préféré te livrer que de refuser mon argent et mes produits.
Je tournai maintenant la tête vers mon père
- Et merci Papa, grâce à toi je me suis surpassé, de m'avoir forcé à vouloir que ce jour arrive. Merci car maintenant, je suis quelqu'un d'important, de puissant, d'influent dans cette société même s'il ne s'agit que de Jéricho. Mais je ne m'arrêterais pas là, ça non. J'en veux plus, toujours mais aujourd'hui, je vais me contenter d'un petit plaisir personnel... Je vais vous détacher, tous les deux et seul celui qui survivra pourra avoir la vie sauve. Dépêchez vous, si à mon retour vous êtes tous les deux vivants, vous mourrez ensemble.
On pouvait entendre les cris, les bruits des coups à travers la porte et je ne pouvais que me réjouir de voir ces deux salauds se battre pour survivre, car après tout : l'homme ne fait que survivre dans ce monde pourri. Puis un moment, le silence : ils avaient sûrement fini.
Je repénétrais dans la salle, Jim était agenouillé, suintant, respirait à une vitesse folle et surtout, ses poings étaient rouge sang, le sang de mon père qui n'avait pas la moindre chance de survivre après tout : question d'âge forcément.
- Félicitations ! Tu as pu frapper à mort un vieillard, tu sers enfin à quelque chose après tout ! Mais en fin de compte, je ne sais pas si tu mérites mon pardon, après tout j'ai failli mourir à cause de toi perdant le peu d'humanité qu'il me restait. Cependant, tu as dit que j'avais fais ma dernière erreur en te faisant confiance ce jour là, je ne peux te donner tort : c'était bien ma dernière erreur.
Il me regardait avec pitié, tel un chien battu, il n'avait même plus la force de résister et il commençait à pleurer, il craquait complètement émotionnellement.
- Tes pleurs ne suffiront pas à te faire sortir d'ici, c'est plutôt horrible de vivre ses derniers instants dans ce genre d'endroit non ? Cela ne te rappelle pas le même endroit qu'il y a 17 ans ? Maintenant les rôles sont inversés et je ne ferais pas ton erreur, comme tu l'avais si bien dit : je suis bien meilleur que toi, en tout.
J'armais alors mon arme et visais entre les deux yeux.
Je n'avais pas plus de temps à perdre avec cette merde : j'appuyai sur la détente.2280 : Ethan Cooper, actuellement. Depuis ma vengeance impitoyable, j'étais comme soulagé d'un lourd fardeau, les affaires continuèrent à marcher sans problèmes malgré quelques suspicions du côté des Régulateurs mais rien de bien alarmant pour le moment.
J'avais arrêté momentanément ma production de came, préférant me concentrer sur mes deux activités principales. Cependant, je n'étais pas réticent à recommencer si j'obtenais de nouveaux partenaires commerciaux mais ce n'était pour le moment pas à l'ordre du jour...
Le Thirsty Dog était d'ailleurs devenu le premier saloon/bar de la ville et il était d'ailleurs possible d'organiser des parties du poker avec les grandes pontes de Jéricho, et c'était le moyen le plus facile de me rencontrer en personne, même si j'étais assez souvent au bar, pour surveiller et gérer.
Bien sûr, tout le monde était le bienvenue, que vous soyez un Frère de la Confrérie, un Marchand, une Goule voire un Super-mutant qui sait ? Du moment que vous pouvez consommer et payer, et bien sûr : pas de grabuges !
« Ne te déçois jamais » disait il hein ? Aucuns problèmes. |
Informations du groupe
→ Groupe : Habitants
→ Votre rôle dans le groupe ? Propriétaire du Saloon le " Thirsty Dog " et du Bordel.
→ Pourquoi ce groupe ? Tout simplement car il s'agit de sa ville d'origine et qu'il lui est possible de s'y établir durablement. |
Informations du karma
→ Si tu vois quelqu'un dans le pétrin, essaieras-tu de le sauver ou le laisserais-tu mourir ? - Je le laisse se débrouiller seul.
→ Serais-tu prêt à trahir un ami pour survivre ? - Non jamais, ami c'est à la vie à la mort !
→ As-tu déjà tué quelqu'un ? - Je tue tous les jours, des bons comme des mauvais, des femmes comme des enfants !
→ Serais-tu du genre à éprouver des remords pour un mal que tu aurais causé ? - Jamais ! Seule ma personne compte, le reste ne mérite pas mon attention.
→ Sauverais-tu un animal blessé ? - Sans hésiter, les animaux ne sont pas aussi mauvais que les êtres humains.
→ Cherches-tu naturellement à apporter de l'aide aux autres ? - Pas vraiment, j'accepte de la donner si je gagne quelque chose en échange, mais je ne l'offre pas naturellement.
→ Une attaque d'animaux sauvages est déclarée, quel est votre premier réflexe ? - Aller m'abriter seul dans mon coin pour survivre.
→ Si vous deviez prendre une arme avec vous, laquelle choisiriez-vous ? - Une arme qui tue rapidement sans faire souffrir.
→ Une silhouette semble rôder autour de votre maison... - Vous restez silencieux et vous attendez.
→ Vous êtes enfin arrivé à votre nouvelle place forte. Vous avez choisi : - Un lieu public avec beaucoup de monde pour vous tenir compagnie. |
Informations diverses
Fayot : permet de gagner un meilleur statut social et les avantages affiliés (montée en grade, acceptation dans un groupe, etc.)
Propriétaire : permet d'obtenir un bâtiment spécial au sein de l'une des communautés
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Dernière édition par Ethan Cooper le Mar 15 Oct - 9:35, édité 24 fois |
| | | | Sarah SheppardVoyageurGénéralités Jeune scientifique
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| | (#) Mar 8 Oct - 17:02 | |
| Bienvenue par ici !  Voilà un avatar qui semble alléchant vis à vis du personnage  Si tu as une question, n'hésite pas, et au plaisir de te lire ! |
| | | | InvitéInvité
| | (#) Mar 8 Oct - 17:09 | |
| Bienvenu Iron man et bon séjour dans les Terres dévastée du Colorado.  |
| | | | Jax Trois-DoigtsChien PenduGénéralités Trois-Doigts
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| | (#) Mer 9 Oct - 10:00 | |
| A nouveau bienvenue ! Bon courage pour ce personnage qui ne manquera pas d'animer Jericho je n'en doute pas une seule seconde  |
| | | | InvitéInvité
| | (#) Mer 9 Oct - 10:08 | |
| Rebienvenue ^^ sympa cet avatar ! Je sens que ce personnage va être haut en couleur ^^ |
| | | | InvitéInvité
| | (#) Jeu 10 Oct - 17:51 | |
| Mise à jour : Première partie de l'Histoire rédigée + Descriptions mentale et physique :') |
| | | | InvitéInvité
| | (#) Jeu 10 Oct - 23:38 | |
| Désolé pour le double post mais : Fiche terminée  |
| | | | Jax Trois-DoigtsChien PenduGénéralités Trois-Doigts
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| | (#) Ven 11 Oct - 10:39 | |
| Je m'occupe de toi d'ici ce soir ! :) |
| | | | Vault BoyMaître du JeuGénéralités Compte PNJ
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| | (#) Sam 12 Oct - 11:32 | |
| Bien ! Après lecture de ta fiche je vois quelques petits problèmes qui m'empêchent de procéder à ta validation dans l'immédiat, je vais donc te les expliquer que tu puisses corriger ça - Le premier vient du fait que tu parles de la maire dans ton histoire. Comme je te l'ai déjà expliqué, ce qui n'est pas cité dans les prédéfinis est laissé libre au choix de la personne qui la prendra, tu ne peux donc pas imposer des choses parce qu'elles t'arrangent ! Dans le cas présent tu ne peux pas décider que le père de Natalia était maire (un maire est élu, donc ce n'était pas forcément son père avant elle) parce que ça obligerait la future Natalia à calquer son histoire sur la tienne. Le mieux est donc de supprimer purement et simplement ce passage et attendre qu'elle soit jouée pour lui proposer ton lien. - Le passage avec la Confrérie n'est pas très logique, comme je te l'ai déjà expliqué la Confrérie ne nettoie pas les campements de raiders, elle cherche des technologies et laisse les raiders mener leur vie. C'est le rôle de l'ERGP de s'occuper des raiders. Il faudrait donc corriger ce point. - Et dernier point : les raiders ne font pas de commerce, du coup commercer avec eux comme tu le dis à la fin de ton histoire, c'est difficilement faisable. Les raiders sont méfiants et rien ne leur prouve qu'un homme capable de commercer avec eux (qui n'a pas vraiment d'honneur donc) ne va pas chercher à les empoisonner. C'est pour cette raison qu'ils se font eux-mêmes leurs drogues à partir de bouse de brahmine. Après tu peux conserver qu'idée qu'il veuille le faire, mais il faudra simplement savoir que ça ne sera pas possible en RP (surtout que l'ERGP surveille le campement des Chiens Pendus et qu'ils ne laisseraient pas ce genre de commerce se faire sans réagir). À toi de voir si tu gardes l'idée ou si tu la supprimes. Bon courage pour modifier ça et si tu as des questions, tu peux les poser ici ou me joindre par MP ! |
| | | | InvitéInvité
| | (#) Dim 13 Oct - 14:44 | |
| Après de longues discussions, modifications apportées ! :p |
| | | | Vault BoyMaître du JeuGénéralités Compte PNJ
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| | (#) Lun 14 Oct - 12:08 | |
| Bien, avec ces changements ça me convient ! Par contre tu n'as pris aucune arme, c'est un oubli ou c'est volontaire ?  Tu commences avec 30 capsules. Je te les ajoute à ton profil. Tu pourras en gagner davantage en te renseignant ici, alors n'hésite pas à te lancer immédiatement dans l'aventure. Tu commences avec un karma de 5 (Habitant). Bref, si cela ne semblait pas encore clair, je te valide ! Tu vas donc pouvoir te lancer dans le jeu ! N'oublie pas de remplir ton profil, ta feuille de personnage et de poster les fiches relatives à ton personnage. Ensuite tu pourras débuter le jeu, tu peux regarder si une des demandes de ce sujet t'intéresse, sinon tu peux toujours poster la tienne ou demander directement à un membre du forum. Enfin, si tu en as l'utilité, n'hésite pas à aller faire certaines des demandes disponibles ici. En tous les cas si tu as des questions les administrateurs et les modérateurs sont à ta disposition ! Bon courage pour réussir à mener tes négociations à bien ! |
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