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Un retour déplorable chez une famille presque parfaite ?

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Message Un retour déplorable chez une famille presque parfaite ? Empty (#) Mar 5 Nov - 22:20

Dans la bouche il avait le goût désagréable de la poussière soulevée par ses pas et le vent. Pourtant, il salivait car, la faim lui taraudait les sens. Sur sa peau il avait cette sensation dérangeante de cette crasse qui colle, combien de douche il devait prendre avant de la voir disparaître ? Râpeux, il n'avait pas vu son reflet dans un miroir depuis une semaine, sa barbe était drue, sale et sûrement malodorante. Il aurait aimé se nettoyer et enfiler des fringues moins rapiécés. Il ressemblait à un mendient et un mercenaire : un survivant des terres sauvages en sommes. Ses sacs maronnasses (un sac à dos et trois autres pendus se ballottait aux rythmes de sa marche) lui pesaient, ses épaules étaient tendues et ses pieds endolories

Il aurait aimé se laver, mais là, il était sous le couvert de la nuit et enveloppé dans les ténèbres il n'avait pas de temps à perdre. Il était pressé car, si les raiders vous vois de loin le jour, la nuit, les bêtes chassent et ils vous sentent de plus loin encore. Il gardait ses sens en alertes malgré le trouble que causait sa terrible fringale. Hormis les hurlements inconstants du vent, rien ne mis en garde son ouïe, il pensait être seul. Aaron était capable de retrouver son chemin même dans cette nuit de défiance et même après sept ans d'absence.

Loyd avait traversé la route numéro 470 depuis un bon moment et en cet instant il était sur un chemin prit en sandwich par deux anciennes propriétés privés, maintenant elles étaient la propriétés du mieux armés. C'était une simple supposition de l'homme car, en vérité il n'en savait rien et il n'allait pas violer le silence qui hantait ces Ranchs délabrés. En tant normal il ne se serait pas gêné. Elles étaient toutes deux plongé dans les ténèbres, Aaron pouvait deviner et imaginer les planches à moitiés arrachés qui barricadaient autrefois chaque orifices des bâtisses.

Il sut qu'il était sur le bon chemin simplement grâce aux barricades démolis qui l'entouraient. Elles lui étaient familières. Il en fut surpris car, il était convaincu d'avoir perdu ces souvenirs dans le temps. C'était agréable, il est peut-être normal que la physionomie d'un lieu n'est pas changé et il avait peur d'être, lui, trop altéré pour être reconnu. Mais une plus grande appréhension retenait son esprit : sa famille n'allait pas l'accueillir à bras ouvert et ils allaient se méfier de lui. Loyd le savait et n'ignorait pas la justesse de leurs colères à son arriver.

Aaron continua à avancer, il longea une nouvelle barricade de meilleures factures que les deux autres. Il vit un ranch avec de la lumière, ce n'était pas le sien, il le comprit tout de suite. Il devait tout de même passer à côté, il se fit le dos rond et ses pas plus légers. Inconsciemment, il vérifia rapidement la présence de ses armes du bout des doigts. Son arme à feu se trouvait sous sa veste en cuir noir à la gauche du cœur et sa lame pendait avec nonchalance au niveau de sa ceinture. Il mit deux bonnes secondes à s'apercevoir de son geste tandis qu'il évoluait toujours sur la route, son long voyage l'avait conditionné.

Il progressait plongé dans ses pensées, il se détendait naturellement en sentent son foyer approcher. À quel point ce voyage l'a changé ? Il était autrefois à la recherche de sauvagerie et l'ironie, aujourd'hui, l'incite à saisir et désirer la coquetterie d'un logis. Ridicule ! Tout ça pour voir naître en lui cette appétit ! D'ailleurs, cela lui rappelait qu'il avait très faim. Ramené sur cette terre pas si détruite que ça, il vit se dessiner sa destination et son appréhension grandit d'avantage en lui.

L'aventurier reprit un stature franche à l’approche du ranch, il devait paraître normal. Cette volonté le surprit, n'y a-t-il pas plus normal qu'un voyageur s'arrêtant une nuit dans une maison d'hôte ? Il pénétra dans la propriétés des Gormogons et vit à sa droite, sous un arbre mort, quelques ombres errer au loin . Des hommes faisant leur rondes, assurément, d'aussi loin ils ne pouvaient pas les reconnaître. Les silhouettes ne se dirigeaient par vers lui. Ils étaient habitués à voir des êtres solitaires s'arrêter chez eux. Les Gormogons avait cette qualité d’apprécier grandement les solitaires. Ce genre de voyageur parlait peu, mais cette famille ne leur demandait pas d'être sociable, seulement d'avoir une chaire agréable.

Il arriva à la porte en bois, propre et accueillante, il reconnut les quelques travaux dispensés au porche dans lequel il se trouvait. Sa mémoire le surprenait de plus en plus car, il pouvait remarquer le rajeunissement du lieu. Devant la porte, il tentait de détailler ce porche qu'il a tant de fois traversé sans faire attention. Sa main droite désespérée caressa son visage sur lequel apparu un sourire amusé. Voilà donc comment il essayait de gagner du temps ? Il frappa à la porte avec ce même sourire, plus ému qu'il aurait cru, et il s'annonça à voix haute. Sa langue était enjouée et chaleureuse, mais elle vibrait avec une émotion incontrôlée.


    Je suis épuisé et je suis affamé. Je cherche un logis, une bougie et des charcuteries ! Je connais votre accueil et voilà pourquoi je viens à votre seuil ... C'est moi, Aaron ... Aaron Loyd !


Il s'est montré hésitant à la fin, il aurait voulu se présenter plus durement et il s'est identifié comme s'il possédait un nom maudit, moins dit que craché ! Un petit groupe de mots cuisants et lourds de sens.
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Gormogon
Daisy-May Daniels
Gormogon
Daisy-May Daniels

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Matriarche Cannibale

☢ Âge : 33 Féminin
☢ Nombre de messages : 252
☢ Nombre de messages RP : 25
☢ Date de Naissance : 04/12/1990
☢ Arrivée à Denver : 02/11/2013
☢ Crédits : Abby
☢ Célébrité : Meryl Streep
☢ Doublons : /
☢ Âge : 61 ans
☢ Lieu actuel : Ranch des Gormogons
☢ Liens rapides :
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☢ Karma: Arnaqueur ♦ -10

☢ Statut RP
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Message Un retour déplorable chez une famille presque parfaite ? Empty (#) Mer 6 Nov - 19:38

La journée avait porté la vieille Daisy comme d'habitude, de manière douce mais décidée : les voyageurs s'étaient fait rares ces dernières semaines et bien qu'ils aient réussi à en avoir deux en même temps, un couple, le frisson du manque secouait quelques membres. Le frisson de tuer, le frisson de dépecer, le frisson de manger. Les légumes récoltés et échangés, les mets qu'ils trouvaient et troquaient étaient bon, bien entendu, tout cannibales qu'ils étaient, ils étaient aussi et surtout gourmets, mais ça n'avait pas la même saveur et ça n'avait pas le même symbole. Une femme aussi âgée qu'elle arrivait à savourer le pouvoir des symboles et des icônes. Daisy se savait symbole et se savait surtout impuissante si elle s'en retrouvait dépourvu : après tout, la vieille Gormogon n'était pas très épaisse et n'était pas forcément téméraire, surtout pas devant un groupe, alors qu'est ce qui empêchait ceux de sa famille qui étaient assez peu emballés par sa gestion ? Le pouvoir qu'elle dégageait par ses pores. Le pouvoir demandait de l'énergie et du contrôle et en ces vieux jours essorés elle avait le temps de les peaufiner. A son âge, on était rarement surprise et encore moins déçue, on avait de nombreuses fois perdus et été perdus, jusqu'au moment où on avait l'impression de ne plus rien avoir à donner, pour après. Mais pourtant, ce soir-là, quand on vint la chercher dans sa chambre, alors qu'elle écrivait avec un fin bâton en bois en guise de plume et une feuille craquelée déjà utilisée, elle ne serait pas attendue à ce qu'un ancien nom lui revint aux oreilles. Faisant une moue, elle rajusta son châle rapiécé sur ses épaules et descendit. Dans le couloir, une bonne dizaine de personnes étaient là, des mines pas forcément très réjouis, certains affichés carrément le mécontentement. Rapidement, une de ses cousines lui expliqua la présentation assez lyrique d'un ancien visage que tout le monde pensait partit pour toujours.

Aaron avait beau être de la famille, tout le monde avait amèrement prit son départ et accueillit avec résignation sa mort loin des terres des ancêtres de Daniels. La tentation de quitter le nid était forte et c'était pour cela que Daisy-May respectait d'autant plus les personnes qui restaient à ses côtés et aidaient la famille jusqu'au bout. Les volontés de liberté, de changement et surtout, d'amour envers « les autres », les gens extérieurs, ceux à qui on ne pouvait jamais totalement faire confiance. Aaron avait été faible et couard et à présent il présentait ses tripes de froussard devant leur porche, demandant charité et réconciliation. Une bouche de plus à nourrir, ce n'était pas ça qui turlupinait Daisy. Ils le pouvaient. De plus, le jeune homme s'était déjà montré être un garde relativement fiable, il aurait vite fait de rembourser sa gamelle. Mais la trahison avait toujours été un pêché assez peu apprécié de tout temps d'après ce qu'on lui avait raconté. Goules comme autres êtres humains semblaient répugner l'idée même de la loyauté bafouée comme si amour et enfants n'étaient rien à côté. Sans même qu'un mot soit prononcé, la matriarche sentait bien qu'une tension frustrée se rependait parmi ses rangs. Ils avaient envie de se venger et ils avaient surtout envie de le laisser crever devant la maison. Malheureusement, un dilemme compliqué se présentait pour la vieille dame : famille ou vengeance ? La chose à faire pour le moment, c'était de savoir si leur réputation s'était ébruitée ailleurs à cause de sa négligence ou de sa stupidité. Et ça, ils ne pourraient pas forcément l'apprendre par la force. Les liens de la famille c'était sacré et Daisy espérait que leur cousin n'ai pas demandé compassion auprès de ses aïeux seulement pour un souper et un lit au chaud. « Faites le entrer. Emmenez-le au salon. »

Le ranch était décomposé en plusieurs parties et le salon était une des plus grandes pièces avec la salle à manger et le sous-sol. D'immenses sièges, pas toujours accordés, étaient répartis entre ces quatre murs et au centre, des canapés en cercle entouraient une table basse de fortune construire avec des restes de vieilles caisses en livraison. Un napperon tressé à partir de différents textiles rendait le tout moins archaïque et hostile. Daisy-May s'installa dans un des fauteuils et attendit qu'on lui apporte son cousin avec qui elle allait avoir une petite conversation... Il n'y avait pas la place à la discrétion pour cette affaire. N'importe quel membre de la famille pourrait écouter leur conversation et ce serait l'occasion pour la matriarche de faire jouer son pouvoir et surtout, pour le réaffirmer. Lorsque l'ombre du jeune homme se profila dans le salon, elle désigna le canapé en face d'elle d'un geste de la main avant qu'elle ne demande à une petite cousine éloignée d'apporter deux thés et une soupe. Si il espérait manger autre chose que de la bouillie vaguement consistante à base de racines et d'écorce, il avait frappé à la maison porte ce soir... « Bonsoir Aaron. Je ne te demanderais pas si ça va, ton état est pitoyable. Qu'est ce qui t'amènes ici ? » Qu'il soit seulement de passage pour profiter de leur hospitalité ou qu'il désire rester, il devrait quand même se justifier. Les Gormogons avaient faim ce soir, faim de vérité.

HRP:


Dernière édition par Daisy-May Daniels le Sam 9 Nov - 22:43, édité 1 fois
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Message Un retour déplorable chez une famille presque parfaite ? Empty (#) Sam 9 Nov - 22:41

Un petit groupe de mots cuisants et lourds de sens ... Pourtant, ce n'est pas le diable qui l'a nommé, mais le passé a alourdi son prénom à l'oreille de sa famille. Aaron Loyd était pour une fois abrupte et manquant naturellement de cette finesse qui sied aux gentilshommes, il dit et agit de la façon dont il pense devoir faire. En s'annonçant ainsi, il faisait brutalement face à ses fautes. Il allait assurément essuyer une certaine colère, il le savait avant même que cette porte ne s'ouvre. Ils n'allaient pas se jeter à son cou, ému par ces retrouvailles. Ce qu'il ne pouvait éviter, il devait l'embrasser. Pourtant, tout en sachant cela, il ne pouvait restreindre cette tendre émotion dans son cœur. Ce sentiment réjouissant de revoir des visages familiers.

La maison s'ouvrit à lui et on l'invita à rentrer sans politesse, ni tendresse. Des yeux accusateurs le jaugèrent avec orgueil. Des regards de haines voulaient le voir repartir ou peut-être mourir ? Il n'était pas idiot, il voyait tout cela dans les prunelles de ses cousins, cousines, oncles et tantes ! Ces yeux tantôt de haines, de pitié et de méfiance furent autant de poignard planté en lui ! Il était accompagné, chaperonné, par deux hommes et une femme, on lui demanda de déposer son barda et son coupe-coupe, il s'exécuta avec neutralité. Un jeune garçon rappliqua pour le délester de ses biens tandis qu'il se défit de son fardeau. L'enfant disparu  derrière une porte moins rapide qu'il était apparu, dû à la lourdeur de ses bagages. Il continua à les suivre, personne ne lui adressa la parole, il était un paria et pendant qu'il subissait ce lourd silence il sentit une étrange excitation étouffer l'émotion de son cœur.

La paranoïa lui présentait d'étranges visions du futur : une table garnit de sa chaire. Elle lui suppliait de fuir, mis il calma sa raison car, de toute manière il était déjà trop tard pour cela. Elle excita ses sens, elle aiguisa son esprit. Il eut l'impression que son souffle se fit plus profond et plus lent ou était-ce le temps qui ralentissait ? Son cœur ne bâtait plus aussi fort. De ses yeux bleues aciers il surveilla discrètement tous les faits et gestes des membres de sa famille. Il sentit des picotements qui couraient sous sa peau, ses jambes et ses bras se languissaient de cette tension insistante. Elle l'appelait à un exercice funeste !

Ils l'amenèrent au salon, cette salle lui était autrefois réconfortante, ce soir elle lui semblait être moins confortable pourtant, ses sièges étaient un luxe dont il n'avait pas eu droit depuis des semaines. Enfin il y arriva, il arriva face à son juge, Daisy-May Daniels était assise sur un canapé. Peut-être était-ce la doyenne qui pervertie son esprit, mais il eut l'impression que l'ambiance s'électrisait à sa venu. Cette famille l'avait déjà condamné ? Il le saura bien assez tôt. Il s'assit à l'invitation silencieuse de la femme âgé. À ce moment, il lui était alors impossible de savoir à quoi elle pensait, elle lui montrait un visage neutre et énigmatique. Elle ouvrit la conversation après avoir envoyé une cousine courir au près de quelques boissons.



    « Bonsoir Aaron. Je ne te demanderais pas si ça va, ton état est pitoyable. Qu'est ce qui t'amènes ici ? »


L'homme resta silencieux quelques secondes. Pitoyable ? Ne voyait-elle pas sous sa crasse cette force qui sommeille ? Et n'est-elle pas éblouit par son regard métallique ? De quelles faiblesses l'accusait-elle ? Ne le voyait-elle pas comme lui se voyait ? Un homme puissant et sauvage. Narcisse pouvait-il s'aimer plus ? Aaron, assis, avait les bras posés sur ses jambes et ses mains étaient jointes, comme si l'une retenait l'autre d'agir. Son regard droit avait perdu toute l'émotion qui cueillait tantôt son coeur. Il avait hâte de faire sa défense, il avait perdu de sa diplomatie habituelle et voulut rentrer dans le vif du sujet. Le vouvoiement, qui enjolivait sa voix grave, s'adressait autant à elle qu'à toute sa famille. Ceci était entendu.

    Vous, on s'est perdu de vue et j'avais l'espoir de vous retrouver. J'imagine que je vais devoir affronter votre colère, je dois la mériter. Bien, s'il en doit être ainsi ! Étiez-vous triste à mon départ ? Êtes-vous énervé car, je suis revenu ? Je ne vous ai pas abandonné, je suis parti en voyage, j'avais besoin de ça ! Si mon expérience définit ce que je suis, n'avais-je pas tous les droits du monde de choisir ce que je voulais être ? Mais je vous ai manqué de respect, par bêtise, par ignorance, par lâcheté et surtout par égoïsme, de cela je suis coupable. Mes excuses et mes mots n'y changeront rien, ceci ne vous calmera pas ! Offrez-moi simplement le temps nécessaire pour vous faire oublier cette erreur qui vous déplaît tant ! Peut-être, sûrement, mon retour est plus insultant que mon départ et peut-être ma demande est une offense impardonnable, mais si je vous fais face cette nuit : c'est pour reprendre une place qui était autrefois mienne ! C'est pour rejoindre une famille dont mes actes m'ont arraché la présence !


Si Loyd avait perdu de son tact, il bavardait toujours autant. Il pensait avoir été abrupte et pour confirmer ses pensées, de vif chuchotements naquirent de son discours. L'on ne crevait pas un abcès sans violence et sa langue en avait usé à ses risques et périls. S'il avait le moindre espoir c'était de ne pas avoir la rapidité nécessaire de dégainer, sa deuxième arme, s'il devait le faire. Ceci n'était que la paranoïa qui prenait le pas sur son intelligence et il expira longuement et discrètement comme pour pouvoir la chasser de sa poitrine.
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